Une grosse cochonne se laisse dépoussiérer la chatte à coups de langue

Avec la plupart des filles, il suffit qu'on leur écarte les cuisses pour que, tout de suite, les choses deviennent plus claires. Avec Henriette, c'est tout le contraire. Véritable énigme pour le non-initié, son entrejambe laisserait perplexe plus d'un spécialiste de l'anatomie humaine. Là où tout indique que l'on devrait trouver une jolie petite chatte un peu apeurée, se trouve un magma de chair pour le moins intimidant. En réalité, c'est grâce à ce genre de situation que l'on peut distinguer le véritable amoureux de la foune du dilettante. Max, le voisin d'Henriette appartient clairement à la première catégorie. Excité par le défi qui s'offre à lui, gardant néanmoins son sang-froid et son sens de l'analyse, le bonhomme procède méthodiquement. Il commence par envoyer ses doigts en éclaireur ; ceux-ci sont formels : derrière les bourrelets, il y a de la vie ! Cependant, rien n'est résolut car Max ne se fie qu'à ses papilles. Prenant son courage à deux mains, il fonce tête baissée et langue la première afin d'établir le contact avec cette forme de vie vaginoïde. Son constat est sans appel : ça y ressemble, ça en a le goût, c'est une cramouille ! En bon professionnel, Max soumet néanmoins cette hypothétique cramouille à un dernier test en y plongeant sa longue sonde qui confirme tout cela.

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